Pétition : Enquête immédiate contre le président de la Confédération Berset pour divulgation de secrets et soupçon de délit d'initié boursier dans son entourage
Le président de la Confédération Alain Berset a été interrogé pendant 7 heures par le procureur fédéral extraordinaire, Peter Marti. Durant cet interrogatoire, Alain Berset ne s'est pas montré coopératif et a souvent refusé de témoigner afin de ne pas s'incriminer lui-même. Ce comportement est bien entendu celui de tout prévenu. Néanmoins, il n'est pas compatible avec son rôle de président de la Confédération et de conseiller fédéral. De plus, il existe toujours le soupçon concret que des personnes de l'entourage proche d'Alain Berset se sont enrichies elles-mêmes en exploitant illégalement des informations d'initiés pertinentes pour les cours par le biais de spéculations boursières. Nous exigeons un traitement transparent et immédiat de cette crise d'État historique au niveau politique et pénal !
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Informations et contexte :
Le 10 novembre, le plus proche collaborateur de Berset, Peter Lauener, a violé le Secret de fonction et a nourri le CEO de Ringier Marc Walder d'informations gouvernementales confidentielles.
Il lui a fait part de l'accord de 100 millions de francs pour un vaccin avec Pfizer-Biontech.
Lauener à Walder textuellement : "Nous signerons prochainement un contrat avec Pfizer, qui a développé ce vaccin soi-disant très efficace".
Promptement, le Blick titrait un jour plus tard en première page : "La Suisse aura le vaccin !" Ce n'est que quelques heures plus tard que le gouvernement suisse a communiqué la conclusion du contrat.
Mais avant cela, le cours de l'action de Biontech avait déjà massivement augmenté et il y avait eu une série de transactions très suspectes avec des actions de l'entreprise Lonza.
On ne sait absolument pas combien de personnes chez Ringier ou dans l'entourage de l'OFSP ont pu exploiter les informations privilégiées pour leur propre profit.
Opérations d'initiés sur actions dans le contexte de l'OFSP
Dès le 12 mars 2021 dévoilé Inside Paradeplatz : "Les plus hauts cercles de l'administration bernoise ont acquis des actions d'entreprises de vaccination via des comptes UBS.
Et ce, à chaque fois quelques jours avant que le gouvernement suisse ne pose des jalons en matière de vaccination". La place financière a pourtant fait état de transactions privées effectuées par des hauts fonctionnaires via des dépôts UBS.
Le délit d'initié constitue un grave délit officiel (voir art. 161 CP et, le cas échéant, une infraction LBA).
Les plus proches collaborateurs du président de la Confédération Alain Berset sont fortement soupçonnés d'avoir commis un délit d'initié en utilisant des informations gouvernementales secrètes.
Il n'est même pas exclu qu'Alain Berset lui-même soit impliqué dans de telles transactions. Des transactions d'initiés dans l'entourage de Marc Walder sont également envisageables.
Le public doit connaître la vérité : Alain Berset a-t-il abusé de sa fonction pour que lui ou son entourage puisse s'enrichir personnellement grâce à la politique de pandémie du Conseil fédéral ?
Y a-t-il eu des spéculations d'initiés chez Ringier ?
Nous demandons une enquête de la FINMA et une enquête du Ministère public de la Confédération
Le mouvement de défense des droits civiques MASS-VOLL! demande donc à l'Autorité de surveillance des marchés financiers FINMA de lancer immédiatement une enquête sur le conseiller fédéral Alain Berset, sa famille,
tous les collaborateurs du DFI et de l'OFSP ainsi que de Ringier, une enquête complète pour soupçon de délit d'initié.
et d'en informer le public de manière transparente.
Toutes les transactions d'actions effectuées par tous les suspects et leurs proches au cours des 36 derniers mois doivent faire l'objet d'un examen complet et d'une enquête sur d'éventuelles infractions pénales.
L'enquête doit être menée en étroite collaboration avec le Ministère public de la Confédération et obligatoirement en étroite collaboration avec les autorités étrangères afin d'identifier d'éventuelles transactions offshore.
Pour prévenir le risque réel de collusion (accords, destruction de documents, etc.), il faut immédiatement saisir toutes les communications électroniques de Peter Lauener, Alain Berset, Marc Walder et d'autres personnes. De même, la question du placement en détention provisoire se pose à notre avis, notamment pour contrer le risque de collusion.
Nous attendons en outre la mise en place d'une commission d'enquête parlementaire (CEP) afin de définir des mesures permettant d'éviter à l'avenir des incidents aussi répréhensibles.
La démission immédiate du président de la Confédération Alain Berset est sans alternative. Il est inadmissible qu'il puisse entraver l'enquête en restant provisoirement en fonction. Cette crise d'Etat doit prendre fin immédiatement pour le bien de la Suisse et de ses institutions.
Si Alain Berset n'est pas prêt à démissionner, nous estimons que les enquêteurs pénaux doivent immédiatement demander la levée de l'immunité d'Alain Berset et que l'Assemblée fédérale doit le suspendre de ses fonctions.